Un ouvrage révolutionnaire pour son epoque, dont nous vivons encore aujourd’hui

Les institutions liturgiques

Préface de l’auteur

Notre intention, en publiant cet ouvrage, a été de satisfaire, du moins en quelque chose, à un des premiers besoins de la science ecclésiastique chez nous. Dans toutes les écoles catholiques des différents pays de l’Europe, la Liturgie fait partie de l’enseignement ; elle a ses cours, ses professeurs spéciaux. Pourquoi, en France, partage-t-elle l’oubli dans lequel est tombée momentanément la science du Droit canonique ? Il faut bien en convenir : c’est que l’objet d’une science a besoin, avant tout, d’être fixe et déterminé, et que tandis que les diverses Églises de l’Europe sont en possession d’une Liturgie immuable et antique, nos Églises ne sont pas encore arrêtées sur leur bréviaire et leur missel. Comment bâtir sur ce sable? quelle harmonie faire ressortir dans ces règles qui n’étaient pas hier, et seront demain modifiées, ou peut-être remplacées par des règles toutes contraires ? Comment montrer la tradition, cette nécessité première de toutes les institutions catholiques, dans des formules et des usages tout nouveaux ?

Soyons sincères, notre désir de perfectibilité liturgique ne nous a-t-il pas insensiblement réduits à l’état que saint  Pie V reprochait  à nos pères,  au  XVIe siècle ? Qu’est devenue cette unité de culte que Pépin et Charlemagne, de concert avec les pontifes romains, avaient établie dans nos Eglises ; que nos évêques et nos conciles du XVIe siècle promulguèrent de nouveau avec tant de zèle et de succès ? Vingt bréviaires et vingt missels se partagent nos Églises, et le plus antique de ces livres n’existait pas à l’ouverture du XVIIIe siècle ; il en est même qui ont vu le jour dans le cours des quarante, premières années du siècle où nous vivons.

Si nos Églises célébraient le service divin suivant les règles du rite ambrosien, ou encore du rite gothique pu mozarabe ; si, au lieu de fabriquer, de fond en comble, des Liturgies inconnues aux siècles précédents, on nous eût remis en possession de cette antique et vénérable Liturgie gallicane, qui fut en usage chez nous jusqu’à la moitié du VIIIéme siècle, la science des rites sacrés eût trouvé ample matière à se nourrir dans l’étude d’aussi précieux monuments. Mais, par un étrange renversement des habitudes catholiques, on est devenu indifférent à ces changements, à ces substitutions de bréviaires et de missels qui, il y a quelques siècles, eussent mis en révolution le clergé et le peuple. Il n’est même pas rare de rencontrer des hommes, instruits d’ailleurs, totalement dépourvus des plus simples notions sur l’histoire des formes liturgiques, et qui s’imaginent naïvement que toutes les prières dont retentissent nos églises, remontent aux âges les plus reculés. Il en est même qui, lorsqu’on leur fait remarquer l’isolement dans lequel ces usages particuliers placent nos Églises à l’égard du Siège apostolique, vous objectent les paroles de saint Augustin, sur l’harmonieuse variété que produisent au sein de l’unité les  coutumes locales, et qui sont tout étonnés quand on leur fait voir que nos coutumes n’ont point pour elles l’antiquité qui seule les rendrait sacrées au point de vue de saint Augustin, et que d’ailleurs, depuis ce Père, l’Église a expressément manifesté l’intention de réunir tout l’Occident sous la loi d’une seule et même Liturgie. Mais leur surprise est à son comble, lorsqu’on leur raconte en quel temps, sous quels auspices, par quelles mains une si importante révolution s’est accomplie.

On nous demandera peut-être si, venant aujourd’hui soulever des questions délicates, notre intention est de produire un mouvement en sens inverse, et de troubler les consciences qui, jusqu’ici, sont demeurées dans la paix. A cela nous répondrons d’abord que nous ne pensons pas que notre faible parole puisse avoir un tel retentissement. Nous essayons de traiter une matière grave et épineuse de la science ecclésiastique, en nous appuyant sur la nombreuse et imposante école liturgiste qui nous a frayé la route, et nous n’entendons rien dire que de conforme aux traditions et aux règlements du Siège apostolique. On jugera si nous avons innové quelque chose ; peut-être même s’apercevra-t-on que nous avons quelque peu étudié et médité avant de parler ; mais, après tout, quand notre livre appelant l’attention de ceux qui ont la mission de veiller sur les Églises, contribuerait, pour la plus légère part, à arrêter de grands abus, à préparer, en quelque chose, un retour aux principes de tous les siècles sur les matières liturgiques, notre crime serait-il si grand ?

Quant au reproche que l’on nous ferait de chercher à troubler les consciences, il n’a rien de sérieux, En effet, ou nous parviendrions à éveiller des scrupules mal fondés, et dans ce cas, les gens éclairés feraient justice de nos assertions ; ou nous proposerions à l’examen des lecteurs de justes raisons de s’alarmer, et alors, loin de mériter des reproches, il nous semble que nous aurions rendu un service. Mais nous le déclarons tout d’abord, notre zèle n’a rien d’exagéré ; la question du Droit de la Liturgie est loin d’occuper la place principale dans cet ouvrage, et dans tous les cas, elle n’est pas si facile à trancher que l’on doive craindre si facilement que nous ayons envie de la dirimer à la légère. Une décision absolue, affirmative ou négative, pour ce qui intéresse la France, n’est même pas possible. Il se rencontre, pour ainsi dire, autant de questions qu’il y a de diocèses. Dans les uns, les usages romains sont abolis depuis dix ans, dans d’autres depuis quatre-vingts ou cent ans : ce qui est fort différent ; d’autres enfin, et celui que nous habitons est du nombre, ont, depuis quatre ou cinq siècles, des livres sous le titre diocésain et soumis de temps immémorial à la correction de l’ordinaire. La question, comme Ton voit, est donc très-complexe, et, nous le répétons, le désir de la résoudre n’est point le motif qui nous a fait entreprendre un ouvrage où elle ne sera traitée qu’accidentellement.

Nous avons voulu, dans ce livre, donner, comme l’indique son titre, un enseignement général de toutes les matières qui concernent la science liturgique, et voici les objets que nous nous sommes proposé de traiter. D’abord, l’histoire étant le fondement et le cadre de tout enseignement ecclésiastique, nous avons pris la tâche difficile, et non encore tentée avant nous, de donner l’histoire générale de la Liturgie. Nous la conduisons dans ce premier volume jusqu’à l’ouverture du XVIIe siècle. Dans ce récit, nous avons fait entrer un grand nombre de détails qu’il nous eût été impossible de placer ailleurs, et dont la connaissance et l’appréciation étaient indispensables pour l’intelligence de la Liturgie considérée tant en général qu’en particulier.

En rédigeant cette importante partie de notre travail, nous n’avons pas tardé à reconnaître que ce coup d’oeil historique serait insuffisant, si nous n’y faisions pas entrer une notice chronologique et bibliographique des auteurs qui ont traité de la Liturgie, ou composé les formules liturgiques. Nous avons, pour cette partie, profité de l’excellente Bibliotheca ritualis de l’illustre Zaccaria, à laquelle, du reste, nous avons ajouté plus de quatre-vingts auteurs, pour les seize premiers siècles seulement .

Parmi les Liturgistes oubliés par Zaccaria et que nous avons recueillis, nous citerons Victorin, Prudence, saint Paulin, Sedulius, Cassien, saint Césaire, Chilpéric, saint Léon II, saint Chrodegang, Charlemagne, Helisacar, Loup de Ferrières, Charles le Chauve, Foulques II d’Anjou, Guy d’Auxerre, Hartmann, Ekkehart, Létalde, Adelbode, Alphane, Marbode, Guigues, Abailard, Adam de Saint-Victoc, Maurice de Sully, Cenci de Sabelli, Alain de Lille, le B. Charles de Blois, Claude de Sainctes, Galesini, Erasme, Democharès, Muret, Silvio Antoniani, etc.

 Nous avons réduit ces sortes de notices à la plus petite dimension possible, pour ne pas trop grossir le volume, et dans les articles qui nous sont communs avec Zaccaria, de même que nous n’avons pas toujours inséré les livres qu’il cite, ainsi nous en avons plus d’une fois produit qui lui étaient échappés.

L’histoire liturgique de l’Église que nous devons conduire jusqu’au XIXe siècle étant terminée, nous commençons à traiter les matières spéciales. A la suite des notions nécessaires sur les livres de la Liturgie, sur le calendrier, sur le partage du temps et ses mystères dans la Liturgie, nous passons à l’explication des traditions et des symboles contenus tant dans la partie mobile de l’année ecclésiastique que dans la partie immobile de ce cycle merveilleux.

Le sacrifice chrétien est ensuite traité avec tous les détails qui peuvent contribuer à bien faire connaître ce centre divin de toute la Liturgie. Nous venons, après cela, aux traditions qui concernent les Sacrements, ces sept sources de grâce desquelles émane sans cesse le salut du peuple chrétien. L’ensemble imposant des Sacramentaux attire ensuite notre attention, et nous fournit l’occasion de montrer la réhabilitation universelle de l’œuvre de Dieu par la vertu de la Croix, d’où découle le divin pouvoir de l’Église. Une dernière partie comprend les Actes et Fonctions liturgiques qui ne se rangent pas sous les divisions que nous venons d’indiquer.

Après avoir développé en détail toutes les parties de cette Somme, nous la faisons suivre de plusieurs traités spéciaux dans lesquels nous examinons : 1° les règles de la symbolique en matière de Liturgie ; 2° la langue et le style de la Liturgie ; 3° le droit de la Liturgie ; 4° l’autorité de la Liturgie, comme moyen d’enseignement dans l’Église, et nous terminons cette dernière subdivision de notre sujet par un petit travail dans lequel, sous le titre de Theologia liturgica, nous avons rangé par ordre de matières tout ce que la Liturgie, telle que Rome la promulgue aujourd’hui, renferme de secours pour l’éclaircissement du dogme et de la morale catholiques.

Telle est la tâche que nous nous sommes imposée : que Dieu nous donne de la remplir d’une manière suffisante ! Cet ouvrage, fruit de douze années d’études, touche un nombre immense de questions ; sa manière est totalement neuve ; ses principes généraux et ses règles d’application sont pris, et devaient l’être, dans un ensemble positif qui, de fait et de droit, est souvent en désaccord avec les idées reçues dans le pays où nous écrivons. Faut-il le  dire ? nous sommes tout Romain. On ne nous en fera sans doute pas  un crime.   Depuis  assez   longtemps il est d’usage de dire en France que les livres liturgiques de Rome ne sont point à la hauteur de notre civilisation religieuse. Il y a un siècle que nous en avons fait la critique la  plus sanglante en les répudiant en masse et bâtissant a priori des offices nouveaux, qui sont en désaccord complet  avec ceux de la Mère des Églises, jusque dans les fêtes mêmes de Pâques et de la Pentecôte. Qu’il soit donc permis de relever le gant, de se faire un instant Je champion de l’Église romaine et de toutes celles de l’Occident (Milan excepté, et six ou sept églises à Tolède, dont la  Liturgie est antique et approuvée.), qui chantent encore et sans doute chanteront jusqu’à la fin des temps les offices que saint Grégoire le Grand recueillit, il y a douze siècles, entre ceux que les pontifes ses prédécesseurs avaient composés. Après tout, n’est-ce pas une chose louable que de faire l’apologie de l’unité dans les choses delà religion ? Est-il donc des points sur lesquels elle deviendrait dangereuse ? N’a-t-elle pas existé, n’existait-elle pas, cette unité liturgique, en France, encore au XVIIe siècle ? Depuis que nous l’avons rompue, notre Église a-t-elle éprouvé tant de prospérités ?

Qu’on ne soit donc pas surpris si, dans cet ouvrage, nous abondons dans le sens de la Liturgie romaine ; que si quelqu’un le trouvait mauvais, qu’il nous attaque. Nous tâcherons de le satisfaire, et afin que le public demeure juge de la controverse, nous nous engageons à placer et les objections et les réponses en tête du volume qui suivra celui dont on aura combattu les faits ou les principes.

Maintenant, c’est la grande mode de se porter défenseur de toute sorte d’antiquités ; une nuée innombrable d’archéologues s’est levée sur le pays, et nos monuments, religieux surtout, sont désormais à l’abri non-seulement de la destruction, mais de toute mutilation, de toute réparation indiscrète. Le plus bel accord règne sur ce point entre nos autorités civiles et ecclésiastiques, et grâce à une révolution si subite et si inespérée, la France jouira, de longs siècles encore, des trophées de son antique gloire dans les arts catholiques. Il y a là, sans doute, de quoi rendre à Dieu de vives actions de grâces. Quand, en 1832, nous autres, pauvres prêtres inconnus, arrachions aux mains des démolisseurs l’admirable monument de Solesmes, qui demandait grâce au pays depuis tant d’années, nous étions loin de penser que nous étions à la veille d’une réaction universelle dont le résultat devait être la conservation passionnée de tous les débris de notre ancienne architecture religieuse et nationale.

Aujourd’hui donc que les pierres du sanctuaire, devenues l’objet d’une étude et d’une admiration ardentes, ne courent plus le risque d’être dispersées par des mains vandales ou malhabiles ; que tous les efforts sont concentrés pour produire des restaurations complètes, et, au besoin, des imitations exactes dans les cintres, les ogives, les rosaces, les vitraux, les boiseries ; n’est-il pas temps de se souvenir que nos églises n’ont pas seulement souffert dans leurs murailles, leurs voûtes et leur mobilier séculaire, mais qu’elles sont veuves surtout de ces anciens et vénérables cantiques dont elles aimaient tant à retentir ; qu’elles sont lasses de ne plus répéter, depuis un siècle, que des accents nouveaux et inconnus aux âges de foi qui les élevèrent. Après tout, les paroles de la Liturgie sont plus saintes, plus précieuses encore que les pierres qu’elle sanctifie.

La Liturgie n’est-elle pas l’âme de vos cathédrales ? sans elle, que sont-elles, sinon d’immenses cadavres dans lesquels est éteinte la parole de vie ? Or donc, songez à leur rendre ce qu’elles ont perdu. Si elles sont romanes, elles vous redemandent ce rite romain que Pépin et Charlemagne leur firent connaître ; si leurs arcs s’élancent en ogives, elles réclament ces chants que saint Louis se plaisait tant à entendre redire à leurs échos ; si la Renaissance les a couronnées de ses guirlandes fleuries, n’ont-elles pas vu les évêques du XVIe siècle inaugurer sous leurs jeunes voûtes les livres nouveaux que Rome venait de donner aux Églises ? Toute notre poésie nationale, nos mœurs, nos institutions ancienne, religieuses ou civiles, sont mêlées aux souvenirs de l’ancienne Liturgie que nous pleurons. C’est ce que nous ferons voir dans ce livre, tout insuffisant qu’il soit : nous oserions même penser que, malgré sa destination cléricale, le poète, l’artiste, l’archéologue, l’historien, auraient quelque chose à y puiser.

Quoi qu’il en soit, nous lui avons laissé le modeste titre d’Institutions liturgiques, comme à un ouvrage spécialement destiné à l’enseignement. Son but principal est d’initier les plus jeunes de nos frères à l’étude de ces mystères du culte divin et de la prière, qui doivent faire la principale nourriture de leur vie. Une entreprise de librairie ecclésiastique, dont les directeurs connaissaient notre projet, nous avait demandé d’insérer cet ouvrage au rang de ses publications. Il a donc été annoncé comme devant paraître en 1838. Nous avons reçu à ce sujet les plus précieux encouragements, et nous savons, à l’avance, que l’objet de ce livre, s’il doit déplaire à quelques-uns, a déjà pour lui de nombreuses sympathies. Nos forces physiques n’ayant pas répondu à notre attente, nous nous sommes trouvé obligé de différer la publication de ce premier volume jusqu’au moment présent, où nous le faisons paraître sous notre seule responsabilité.

L’ouvrage entier formera cinq volumes : le second paraîtra dans le courant de l’année présente, et les autres suivront à des intervalles très-rapprochés. Ayant fait de longues et sérieuses études sur la Liturgie, nous avons le projet de publier, en dehors de ces Institutions, plusieurs traités spéciaux. Nous indiquerons seulement ici le projet d’une Année liturgique, travail destiné à mettre les fidèles en état de profiter des secours immenses qu’offre à la piété chrétienne la compréhension des mystères de la Liturgie, dans les différentes saisons de l’année ecclésiastique. Cet ouvrage n’aura rien de commun avec les diverses Années chrétiennes qui ont été publiées jusqu’ici. Il sera destiné à aider les fidèles dans l’assistance aux offices divins ; on pourra le porter à l’église, et il y tiendra lieu de tout autre livre de prières. La première division de l’Année liturgique paraîtra, de format in-12, sous le titre d’Avent liturgique, dans le courant de l’automne de l’année prochaine 1841.

Quant aux Institutions liturgiques elles-mêmes, nous espérons les faire suivre d’un autre ouvrage de même dimension, et d’un genre analogue, qui portera le titre d’Institutions canoniques. On commence pourtant à sentir, de toutes parts, la nécessité de connaître et d’étudier le Droit ecclésiastique. L’indifférence dans laquelle a vécu la France, depuis quarante ans, sur la discipline générale et particulière de l’Église, est un fait sans exemple dans les annales du christianisme. Les conséquences de cette longue indifférence se sont aggravées par le temps, et ne peuvent se guérir qu’en recourant aux véritables sources de la législation ecclésiastique, aux graves et doctes écrits des canonistes irréprochables. Nous n’avons plus de parlements aujourd’hui pour fausser les notions du Droit, pour entraver la juridiction ecclésiastique ; plus de gallicanisme pour paralyser l’action vivifiante du chef de l’Église sur tous ses membres.

Nos Institutions canoniques, destinées, comme la Liturgique, à l’instruction de nos jeunes confrères, nous avaient été demandées par les directeurs de la même entreprise de librairie ecclésiastique, dont nous avons parlé, et ont été annoncées au public, il y a trois ans. Les raisons que nous avons exposées nous ayant forcé à différer cette publication, nous serons en mesure de l’effectuer après la publication totale de la Liturgique. Nous nous abstiendrons donc d’entretenir plus longtemps le lecteur sur un ouvrage qui s’élabore, il est vrai, dès maintenant, mais dont l’apparition doit encore attendre plusieurs années.

Nous terminerons cette préface en soumettant d’esprit et de cœur au jugement et à la correction du Siège apostolique le présent ouvrage, que nous n’avons entrepris que dans le but de servir l’Église, suivant nos faibles moyens, attendant le succès de Celui-là seul qui, Prêtre et Victime, est à la fois le moyen et le terme de toute LITURGIE.

Institutions liturgiques – Chapitre I

INSTITUTIONS LITURGIQUES PREMIÈRE PARTIE CHAPITRE I : NOTIONS PRÉLIMINAIRES La Liturgie, considérée en général, est l’ensemble des symboles, des chants […]

Institutions liturgiques – Chapitre II

CHAPITRE II : IMPORTANCE DE L’ÉTUDE DE LA LITURGIE   On sent aisément que de tout cet ensemble de confession, […]

Institutions liturgiques – Chapitre III

CHAPITRE III : ÉTAT DE LA LITURGIE AU TEMPS DES APOTRES   La Liturgie est une chose si excellente, que, […]
Retour en haut